Julia, entraineur de Handball professionnelle

Lorsque vous avez fait la démarche de chercher un coach, quels étaient  vos objectifs ?
Lorsque j’ai démarré, j’avais besoin d’avoir un espace où pouvoir me livrer sans jugement et sans gêne. Il était important pour moi de pouvoir parler à quelqu’un sans que cela n’influe sur mon environnement.
J’avais besoin de parler de mes émotions personnelles, notamment des émotions négatives comme la frustration.
J’avais également besoin de m’exprimer sur ma sensation d’être illégitime, et de comprendre ce qui se passait en moi.
J’espérais trouver des ressources dans le coaching.
Dès le début de l’accompagnement (après la 1ère séance de coaching) qu’avez-vous ressenti? Quels ont étés les premiers changements?
J’ai pu me présenter et j’ai tout de suite senti de la bienveillance. J’ai compris vite que les émotions sont une réaction et donc légitimes. J’ai également vite appris que les changements prennent du temps, et cela m’a enlevé de l’anxiété.
Qu’est ce que le coaching vous a apporté?
J’ai découvert des ressources internes qui m’ont aidé par la suite, par exemple un petit rituel à faire avant les matchs qui m’aide dans le relâchement et le lâcher prise, ou bien des exercices de respiration.
Ces rituels évoluent au fur et à mesure que j’avance, et ils m’aident réellement.
Le travail est encore long, mais je pense avoir pris conscience de plein de choses, ce qui me permet d’avancer.
Un mot pour la coach, la méthode utilisée?
L’échange a tout de suite était très naturel, et j’ai vite été à l’aise (ce que j’ai beaucoup apprécié car c’est rarement le cas), j’ai toujours senti du non-jugement, de la disponibilité et de la confiance.
J’ai apprécié la variété des contenus : schémas, dessins, vidéos, photos, ainsi que de pouvoir parler de situations CONCRETES de mon quotidien à ce moment-là.
Je te remercie encore pour ta bienveillance, ton écoute et ta disponibilité.
Qu’est-ce que vous diriez à une personne qui hésite à commencer un coaching?
Je pense que l’accompagnement m’a fait beaucoup de bien, notamment à cette période qui était très instable professionnellement pour moi (nouvelles missions, découverte de ce métier, charge de travail).
La prise de conscience de certaines barrières que je me mets, et de pourquoi je me les mets, est je pense la première pierre dans la gestion de mes émotions.
Je pense aussi que toutes personnes qui en ressentent le besoin doivent se faire accompagner, car cela permet de mieux comprendre ce que nous vivons, et donc de l’accepter.

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